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Mi vida en Madrid
27 avril 2008

si sex ♂ ♥ ♀ and sun ☼

Ce week-end a été l'un des plus beaux de ma vie: la raison: un soleil radieux ☼ et l'arrivée de mon chéri dans mon cher appartement ♥. En effet depuis mercredi après-midi Thomas est arrivé sur Madrid pour passer quelques jours avec moi. Donc le soir de son arrivée, directement après mes cour, nous sommes allés faire un tour au Retiro, quoi de mieux que de s'allonger dans la pelouse de ce parc magnifique en compagnie de son chéri? Après de longues discussions, bisous, discussions, calins, bisous, discussions, câlins [...] nous sommes rentrés à l'appart pour ensuite aller manger au resto. Nous avons donc fait le tour des petites ruelles du centre ville pour trouver une petite perle culinaire, quand nous sommes tombés sur un petit restau à l'apparence charmante et à la carte alléchante pour des tarifs plus qu'attrayants... Mais voilà c'était comme on appelle chez nous un attrappe-couillons, une usine à touristes  où  nous avons mangés de minuscules  côtelettes  os d'agneaux  facturés à un prix d'or (hé oui la carte présentée à l'extérieur c'est que pour le 32 du mois).


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Thomas devant le palacio de cristal

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dans la roseraie du Retiro

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dans la pelouse

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en haut du jardin botanique du Retiro


Le lendemain, après une petite virée "remplissage de placards" chez Carrefour, nous sommes partis direction Casa de Campo. Pour ceux qui ne savent pas ce que c'est , c'est comment dire... sauvage! C'est un immense parc naturel de 1800 hectares dans la ville de Madrid qui était autrefois destiné aux parties de chasse du roi. Vous voyez le poil droit du trou du cul du monde?? Bah c'est pas loin :-)  Donc nous voilà après une heure de métro (oui nous avons visiblement pris le chemin le plus long) dans la jungle madrilène où nous avions comme seule compagne elle P4250079 . Comme dirait ma mère : C'est dépaysant! La peur au ventre de croiser un ours, nous avons marché 10 km jusqu'à trouver une station de métro au bord du lac de la Casa de Campo. Donc bilan: nous avons vu un zoo, un parc d'attractions, de la verdure, une colline, un lac, des kayakeurs, et tout cela bien loin du bruit de klaxons et des vrombissements des moteurs. C'est avec les jambes en compote que nous sommes rentrés préparer une pizza qui avait goût à tout sauf à la pizza :(

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en pleine nature...

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Casa de campo mola mogollón

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le bisou bio

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vue depuis le sommet de la colline (où je suis montée sur le dos de Tom... Quoi feignasse?)

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Après 10 km de marche on trouve la quiétude d'un bord de lac


Le lendemain, nous avons eu un temps sublime (oui encore) et nous en avons profité pour aller flâner dans les jardins del Oeste autour du temple de Debod. Après cette petite ballade, nous avons rien trouver de mieux que de faire une petite virée shopping dans le centre ville. E-pui-sant!

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derrière le temple de Debod

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La Almudena vue depuis les jardins del Oeste

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devant la Almudena

Puis le soir, nous étions conviés à fêter l'anniversaire de Carine dans l'appart anciennement appelé "de Samuele" où habitent désormais en plus de Samuele, Carine et Leo. Nous y sommes donc allés accompagnés de Javier, Hernán et Emilie et nous avons eu droit à un florilège de sculptures de ballons faîtes par Nico un espagnol surper sympa.

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Emilie et Javier

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Hernán et Emilie

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Tom et moi

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Javier et Rosario

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Nico sculpte les ballons...

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... avec Carine...

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... que Hernán a gonflé


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un nounours pour moi

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une moto pour Javier

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et une couronne egyptienne pour Emilie


Le dimanche a été un vrai dimanche avec grasse matinée au programme puis nous sommes de nouveau allés au Retiro pour quelques instants de pur bonheur.

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Le soir, j'ai amené mon chéri au bar Hambre del querer (non je ne suis pas actionnaire mais je devrais peut être y songer) et en regardant la carte j'ai noté "callos a la madrileña". Je me suis souvenue qu'on m'avait dit "c'est un délice". Sans réfléchir j'ai pensé que "callos" voulait dire "cailles" mais nous voilà avec ça sur la table:

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Ça ce ne sont en aucun cas des cailles, mais des tripes beeeeeeeeeerk
On a donc décidé de se rabattre sur les valeurs sures: patatas bravas et jamón ibérico

Lundi après-midi Thomas est parti direction l'aéroport et m'a laissé toute tristounette mais avec des souvenirs pleins la tête. Maintenant place aux révisions à vitesse grand V.

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